The Project Team
How can you support?
It is estimated that IBS affects nearly 10% of the world’s population, though its aetiology remains unknown.
​
We feel this to be a hugely important project in broadening our understanding of this often misunderstood disease, and our ability to use a multidisciplinary approach to understand a broader range of chronic illnesses.
We are hugley grateful to all the wonderful donors who have chosen to support us philanthropically and hope you will consider joining them in supporting our work. Below, you can see just some examples of the imapct your support can have:
​
​
The impact of your gift
Below, you can see just some examples of the imapct your support can have on this project:
​
​

£5,000
£1,000
Two tubes of antibodies.
These antibody tubes enable our researchers to label a specific protein in a tissue sample.
​

One DNA sequencing kit for two samples.
These kits allow us to study the makeup of the microbiota and understand how this might be affecting brain activity.
​
£10,000
An ELISA reader.
This diverse machine will allow us to measure immune responses to certain cataylsts to study for example reduced inflamation in the gut


£50,000
A PCR machine.
This will enable us to measure activity across genes to understand how the body is reacting to different stimuli and understand where the links between brain and gut are taking place.
£70,000
The annual salary of a postdoctoral researcher dedicated to this project.
​
This is essential in enabling us to maintain the multi-disciplinary nature of this project by having a researcher who is focused on working across teams to see the results of this research.


If everyone at the event made a gift of £1,000 This would cover the annual salary of a postdoctoral researcher dedicated to this project

If five people made a gift of £2,000
This would pay for a new ELISA reader to quantify responses.


If just two people made a gift of £2,500
This would fully fund two new DNA sequancing kits.
If ten people made a gift of £5,000
This would pay for a new PCR machine to quantify gene expression.
Notre projet
​Étude de la manière dont la réponse au stress postnatal entraîne une mauvaise adaptation à long terme de l'épithélium intestinal conduisant au syndrome du côlon irritable (SCI) plus tard dans la vie
La période postnatale est une période de développement critique au cours de laquelle les organes et les tissus s'adaptent à l'environnement extérieur. Dans l'épithélium intestinal (la couche cellulaire unique qui forme la paroi luminale de l'intestin grêle et du gros intestin), cette phase est marquée par des changements structurels et transcriptionnels importants. Bien que ces changements soient génétiquement programmés, ils sont fortement influencés par des facteurs externes tels que la colonisation microbienne, les changements alimentaires et les soins maternels. Les perturbations de ces facteurs externes peuvent déclencher des réponses au stress, souvent perçues par le cerveau comme des événements indésirables. Cela active l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA), ce qui entraîne des niveaux élevés d'hormones de stress au début de la vie.
Bien que le stress soit bien connu pour aggraver le syndrome du côlon irritable, ce projet apporte de nouvelles preuves suggérant que le syndrome peut en fait être causé par une communication inadaptée entre le cerveau et l'intestin au début de la vie.

"Dans cette étude, nous explorons les mécanismes reliant le stress du début de la vie à une sensibilité intestinale accrue à l’inflammation et au dysfonctionnement plus tard dans la vie. En utilisant de la dexaméthasone, un glucocorticoïde synthétique qui imite les hormones du stress, nous avons activé la réponse au stress chez des souris âgées d’une semaine. Nous avons ensuite analysé les impacts transcriptomiques, épigénomiques et fonctionnels sur les cellules épithéliales intestinales chez les nouveau-nés et les adultes.
Nos résultats révèlent que l’activation de la réponse au stress pendant la période postnatale induit une perte de cellules souches épithéliales intestinales, accompagnée d’une différenciation et d’une maturation accélérées de l’intestin. Notamment, les gènes impliqués dans la détection microbienne ont été particulièrement affectés, perturbant les interactions des cellules épithéliales avec le microenvironnement environnant. Ces perturbations ont entraîné des changements épigénétiques et transcriptionnels durables, conduisant à une sensibilité accrue aux pathologies inflammatoires plus tard dans la vie.
Nos données montrent que l'activation de la réponse au stress au début de la vie conduit à une programmation inadaptée de l'épithélium intestinal, qui comprend sa capacité à s'adapter fonctionnellement à son environnement plus tard dans la vie. Cela souligne l'importance de la période postnatale dans le façonnement de la fonction intestinale et de la résilience." Fabian Guendel Rojas, étudiant postdoctoral.